La Belgique dans tous ses états.................

oui ça fait un petit moment que ça dure cette affaire ! je pense que c une crise grave dont on a du mal à voir le bout

Et on parle d'Europe unie... quelle misère!!!!!

Tu vois, Aude, c'est le problème des pays démocratiques...
Quand les militaires ont arrêté les élections en Algérie ... je ne sais plus en quelle année c'était... parce que les islamistes fondamentalistes étaient en train de gagner (vu que les démocrates ont refusé d'aller voter), tous les gouvernements démocratiques ont crié au scandale... mais tu vois, il y a des moments où la démocratie n'est pas si démotique que l'on croit...

Aude, voilà ce que je t'ai trouvé

http://www.liberation.fr/actualite/monde/292147.FR.php

Mais dans quelle édition il est, ce dossier?

Les dossiers et archives sont payants, et je n'arrive pas à trouver ce dossier, Aude, je suis désolée!

Belgique: Leterme renonce à former un gouvernement
La Belgique au bord de l'éclatement? Plus de cinq mois après les élections législatives du 10 juin, le chef des démocrates-chrétiens flamands Yves Leterme, qui avait été chargé de former un gouvernement, a officiellement renoncé à sa mission en présentant samedi sa démission au roi Albert II.

Le roi a accepté la démission d'Yves Leterme, prenant implicitement acte du profond divorce entre les partis flamands et francophones belges. Albert II prévoyait de consulter la classe politique du royaume pour décider de la marche à suivre pour résoudre une des crises les plus profondes qu'ait connues la Belgique ces cinquante dernières années. Une crise qui fait désormais craindre un démembrement du pays.

Yves Leterme n'est pas parvenu à convaincre les chrétiens-démocrates francophones sur son plan de réforme de l'Etat destiné à donner plus d'autonomie aux régions.

Après 174 jours de crise, le chef du CVD, en quête d'un compromis entre les formations de centre-droit flamandes et wallonnes pour constituer une coalition "orange bleue", a dit avoir "tout fait pour parvenir au succès de (sa) mission", mais, selon lui, "il n'a pas été possible de trouver des accords clairs entre tous les partis à la table des négociations".

Les chrétiens-démocrates et les libéraux ont remporté 81 des 150 sièges à pourvoir lors des élections législatives du 10 juin. Mais les pourparlers de coalition n'ont pas abouti, les francophones (4,5 millions) dénonçant constamment le degré d'autonomie réclamé par les néerlandophones (6 millions), majoritaires au sein de la fédération belge et soupçonnés par la communauté rivale de vouloir leur indépendance.

A l'issue de vains et longs pourparlers, Yves Leterme avait mis en demeure vendredi les quatre partis avec lesquels il négociait d'accepter son plan de réformes institutionnelles. Si le CVD et les libéraux des deux camps ont donné leur accord, les chrétiens-démocrates francophones du CDH ont eux refusé, poussant le candidat au poste de Premier ministre à la démission.

"Le pays a besoin d'un gouvernement stable", mais il n'en aura un "que si les réformes nécessaires sont mises en oeuvre", a souligné Yves Leterme, qui avait déjà jeté l'éponge le 23 août, avant d'être rappelé par le roi Albert II. Si aucune date-butoir n'est prévue par la Constitution belge pour sortir de cette crise, rien ne permet de croire que le souverain lui accordera une nouvelle chance.

Les négociations menée par Yves Leterme ont achoppé sur le divorce consommé entre chrétiens-démocrates francophones et flamands, qui sont en profond désaccord sur l'avenir de la Belgique fédérale.

Dans ce contexte, Yves Leterme n'avait remporté les élections du 10 juin qu'à la faveur d'une alliance entre son parti et une petite formation indépendantiste NVA, qui revendique à terme l'indépendance de la Flandre. AP

Reynders: ''Milquet a franchi la limite''


Le président du MR, Didier Reynders, affirme vendredi dans La Dernière Heure que "la limite est franchie", à la suite de la diffusion, mercredi soir, sur la RTBF d'un reportage de l'émission Questions à la Une sur les coulisses des négociations de formation de l'orange bleue dans lequel Joëlle Milquet dit notamment qu'il est "ingérable d'être la seule francophone autour de la table".

La présidente du cdH affirme dans le même extrait d'émission lors des négociations à Val Duchesse cet été: "Ils veulent que les entités fédérées paient, et Reynders est avec eux". Didier Reynders affirme vendredi prendre "acte de cette attitude d'une présidente de parti à l'égard d'un partenaire avec lequel, au moment où elle prononce ces phrases, elle est en train de négocier. Cela pose désormais, à tout le moins, un sérieux problème de confiance", affirme le président du MR.

Didier Reynders dit encore prendre "bonne note que la volonté de la présidente du cdH est de ne pas s'engager avec nous, malgré les décisions successives inverses des membres de son parti (...). Je prends aussi bonne note de son agressivité à notre égard. Visiblement, chez Madame Milquet, le choix est fait de nous prendre pour cible et de l'utiliser pour se faire passer pour la meilleure des francophones".

Quant à l'orange bleue, M. Reynders affirme constater "que, pour l'instant en tout cas, cette formule de gouvernement n'est pas possible". (belga)

Les Belges refusent la scission

Les Wallons, les Bruxellois et les Flamands sont d'accord sur le fait que la Belgique doit subsister, révèle le baromètre politique trimestriel réalisé à la demande de La Libre Belgique et RTL-TVi. Par contre, ils se divisent sur l'opportunité de réaliser, ou non, une réforme de l'Etat.


Ainsi, 88% des Wallons, 87% des Bruxellois et 72% des Flamands souhaitent que l'Etat belge existe encore dans 20 ans. Mais ils craignent que cela ne soit pas possible. A la question "pensez-vous que l'Etat belge existera encore dans 20 ans? ", ils sont seulement la moitié à répondre "oui" (44% des Wallons, 50% des Bruxellois et 45% des Flamands).

Moral belge
La crise semble par ailleurs entamer davantage le moral des Bruxellois (44%) et des Wallons (41%) que celui des Flamands (26%). Concernant une éventuelle réforme de l'Etat, les Wallons (43%) sont contre le transfert de compétences nouvelles de l'Etat fédéral vers les régions et les Communautés. Les Bruxellois semblent plus partagés (38% pour et 38% contre), alors qu'en Flandre on se prononce à 65% pour.

Du côté flamand ce sont les électeurs du cartel CD&V/N-VA qui sont les plus demandeurs (72%), alors que du côté francophone ce sont les électeurs du cdH qui sont les plus nombreux à vouloir une réforme de l'Etat (48%). En ce qui concerne les compétences à transférer aux communautés et aux régions, 78% des Flamands veulent une régionalisation de l'emploi (contre 38% des Wallons et 44% des Bruxellois); 70% des Flamands veulent que cela concerne la fiscalité (contre 22% des Wallons et 24% des Bruxellois) et enfin 72% des Flamands citent la sécurité sociale, contre seulement 19% des Wallons et 18% des Bruxellois. (7s7)

Oui mes les prix c'est partout pareil !

Même en Espagne les gens font la gueule ! le litre de lait est à un Euro !

Partout pareil... et en Algérie, pire encore...

ça craint tout ça ! en tout cas on le voit bien tous les jours tout est cher ! une vraie cata !

Chez le boulanger je paye un pain 1,25 euros et une baguette 77 centimes
au supermarché c'est moins cher la baguette est à 55 centimes.

Une baguette (250 g ) à Paris 0,90 euros et au monop je crois qu'elle est à 0,80